CHAVILLE ENCHERES

Quelques Tableaux de Peintres et sculpteur du Monde :

          Brésil, Chine, Danemark, Etats-Unis, Grèce,      Hollande, Italie, Maroc, Pérou, Russie 

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CATALOGUE du 30 mars 2014

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51.

NASCIMENTO Walter, né en 1949

" Bananeraie au Brésil "

Huile sur toile

Signée en Bas à Droite

46x38 cm

Chu Teh-Chun (chinois : 朱德群 - pinyin : zhū déqún), né le 24 octobre 1920 à Baitou Zhen dans le xian de Xiao, province de    l'Anhui (Chine), est un peintre contemporain, installé en France     depuis 1955. Peintre abstrait de la même génération que                     Zao Wou Ki, il a tracé son sillon personnel dans le paysagisme     abstrait. Il est depuis 1997 membre de l'Institut.

Chu Teh Chun entre en 1935 à l’École des beaux-arts de Hangzhou.        Il y fait de nombreuses peintures des paysages du Lac de l'Ouest

Pendant son service militaire, il rencontre Wu Guanzhong qui        devient son ami.

Le 27 juillet 1937, survient la guerre sino-japonaise, provoquant l'exode des universités vers l'ouest de la Chine, atteint en 1939 Kunming dans le Yunnan puis s'établit à Songlinkang dans le       Sichuan   où professeurs et étudiants arrivent en 1940. En 1941               il est nommé professeur assistant dans sa propre école et       professeur titulaire en 1942 à l'Université de Nankin repliée près          de Chongqing.

En 1949, Il s'installe à Taipei, et devient professeur à l’École    d’industrie, section architecture, en 1950. En 1951, il est professeur        à l'Université normale nationale où il enseigne la peinture      occidentale.

Le 29 mars 1955, Chu Teh-Chun embarque pour l’Europe, et s’installe    à Paris. Il peint des paysages de Paris, dessine à l'Académie de la Grande Chaumière, visite le Musée du Louvre, les galeries et les expositions. Un voyage en Espagne lui fait découvrir le Prado et       Goya, Tolède et les œuvres du Gréco.

En 1956, il découvre « de visu » l’art abstrait, notamment lors de la rétrospective Nicolas de Staël. De 1956 à 1961, il rencontre ses premiers succès à Paris, et dès 1964, sa réputation se propage à l’étranger à l’occasion d’expositions au Carnegie Art Museum, à Pittsburgh, Jérusalem, Athènes, et en 1969, à la Biennale de                 São Paulo. En 1976, il renoue avec la calligraphie qu’il a pratiquée      dans sa jeunesse.

En 1983, il siège au jury de l’Université chinoise de Hong Kong.                 Il fait    un voyage à Pékin, où il est invité par l’Union des artistes          de Chine.  Sa renommée, partie d’Occident, s’étend maintenant à    l’Asie. En 1987, le Musée national d’histoire de Taipei, (République de Chine) organise une grande exposition rétrospective, lui permettant ainsi, pour la première fois depuis trente-deux ans qu’il a quitté son pays, de montrer l’ensemble de son œuvre.

Chu Teh-Chun est élu en 1997 à l'Académie des beaux-arts, section peinture, au fauteuil de Jacques Despierre. Il en est le doyen depuis       la mort de Marc Saltet en 2008.

Du 5 mars au 30 mars 2010, une rétrospective lui est consacré à       l'âge de 90 ans, au Musée national des beaux-arts de Chine, à          Pékin.

Une exposition à la Pinacothèque de Paris en 2013-2014 affiche quelques dizaines de ses œuvres, ainsi que son portrait réalisé           par  Yan Pei-Ming.

110.

CHU TEH-CHUN, né en 1920, décédé à Paris le 26 mars 2014 

" Composition abstraite, 86 "

Huile sur toile Signée en Bas à Droite,

datée et contresignée au dos

22x27 cm

Olivia Holm-Møller (1875-1970) est née dans le village danois de     Homa sur Djursland en 1875.

À l'âge de 26 ans, elle s’installe à Copenhague. En 1901-1902, elle étudie  à l'école de l'Académie de l'art des femmes auprès de           Viggo Johansen.

Au début de sa carrière d'artiste, Olivia Holm-Møller travaille      surtout   la sculpture et la source de ses motifs est en grande          partie sa famille  et ses proches.

Dès 1914, cependant, la peinture est devenue son principal moyen d'expression.

Cette même année, Olivia Holm-Møller est retournée à Homa.

Les peintures d’Olivia Holm-Møller sont expressives, audacieuses          et pleines d'émotions intenses. Des couleurs pures, fortes et lumineuses   - durant les premières années en particulier – s’imprègnent de jaunes, dans un effet artistique central de ses peintures. Les motifs sont inspirés de la mythologie nordique                 et la Bible. En outre, des motifs de son environnement proche, des scènes de sa famille ou de récoltes    ont trouvés leur chemin de sa toile, mais jamais comme une simple représentation de la réalité.       Les motifs se réfèrent toujours à un thème de plus en plus commun.

Olivia Holm-Møller a beaucoup voyagé toute sa vie.

Avant la Première Guerre mondiale, elle partit pour l'Italie à       plusieurs reprises.  Après la Seconde Guerre mondiale, elle a         voyagé avec son ami et collègue Jens Nielsen vers des destinations éloignées comme l'Afrique, le Mexique, l'Egypte, l'Inde et la Chine.     Lors de ses voyages, elle fit  des croquis sous la forme d'aquarelles, gravures et dessins. A son retour, les croquis ont été réalisés en tableaux, qui représentaient ses expériences personnelles et               ses ressentis des couleurs, des paysages et des habitants des           pays visités. Elle exprimera sa révolte envers la guerre et le            destin des gens du peuple.

Un espace spécial dans son univers artistique s’ouvre  dans un      certain nombre de ses peintures à partir des années 1930 et             1950 avec des titres comme "Juste couleur et le rythme".

Olivia Holm-Møller a imaginé que tout pourrait être exprimé par           les couleurs sans  représentation factuelle. Ces représentations         non objectives avec des éruptions explosives de couleurs peuvent    être considérées comme les descriptions des humeurs, des expériences musicales ou l'essence même d'une expérience de la nature.

Olivia Holm-Møller a peint, dessiné ou gravé jusque dans son      extrême vieillesse. Toute sa vie, elle s’est revendiquée comme           une individualiste regardant le monde établi de l'art avec        scepticisme - et  se regardant elle-même et le monde avec scepticisme.

Après sa mort, une grande collection de ses œuvres a été recueillie    par le Museet Holmen dans Løgumkloster dans le sud du Jutland.          En 1982, la collection a été remise à Jens Nielsens Museum            (Musée Nielsen Jens) à Holstebro, qui a changé son nom pour             Jens Nielsen & Olivia Holm-Møller Museet.

117.

HOLM-MOLLER Olivia 1875-1970 :

" Episode de la guerre d'Espagne, 36 " 

Huile sur toile Signée en Bas à Droite du monogramme

et datée 1936

126x126 cm

Shane Guffogg est né en 1962 à Los Angeles, en Californie et a        grandi sur une ferme d'oiseaux exotiques dans la vallée de San Joaquin. Son intérêt pour la peinture a commencé alors     qu’adolescent, il voyageait en Europe et dans l'ancienne Union soviétique, il a alors été subjugué par la maîtrise des Grand Maîtres.     A la suite de ce voyage il a reçu son B.F.A. de Cal Arts, et au cours de ses études, il a travaillé avec Gary Stephan.

Pour son travail pictural, il a commencé par explorer l'iconographie antique, les cultures classiques de la Renaissance, des modernes,      puis de ses contemporaines, en étudiant les relations entre les différentes époques et les peuples. Au cours de ces explorations,            il découvre que  la peinture est l'une des rares formes d'art qui          peut exprimer ce que la langue ne peut pas traduire.                                   A partir de là, le travail qui en résulte contient sa propre langue de signes et symboles, et dans sa structure, la profondeur visuelle           liée à la lumière, permet, en même temps, de se référer à l'émotion,     à l'esprit humain et aux mondes invisibles de la physique quantique     et la théorie de Super String.

Guffogg travaille l'huile sur toile et sur papier,  l'aquarelle,                        la gouache  et le pastel sur papier. Il est aussi graveur et réalise         des gravures traditionnelles sur des plaques de zinc. Ses huiles            ont généralement   50 à 60 couches de couleurs translucides                qui ont été mélangés avec   un médium de vitrage, ce qui             provoque des peintures semblant éclairées de l'intérieur.

95.

GUFFOGG Shane né en 1962  

" At the Still Point " 

Acrylique sur toile signée au dos 

151x185 cm

120.

GUFFOGG Shane né en 1962 :

" Ginevra de Bance, 2012 "

 
Acrylique sur toile signée

60x80 cm

TAKIS DIAMANTOPOULOS

Takis Diamantopoulos est né en 1949, dans une famille de photographes, à Athènes , en Grèce où il vit toujours.

Il est avant tout un photographe à la renommée internationale         pour qui les plus grands acteurs du monde culturel ont posé, de Catherine Deneuve à William Defoe en passant par  Charlotte     Rampling ou Hannah Shygulla.

Pour ce qui est de ses sculptures c'est avant tout l'humain                       et le corps que son oeil de photographe cherche à modeler                     en 3 D pour représenter sans détours les morsures du temps                 et de l'âme.

63.

DIAMANTOPOULOS Takis, né en 1949

" Magnétique Evidence,1983 "

Bronze à patine dorée

édité par Artcurial diffusion en 1991

Né à Utrecht, Hollande, le 16 Juin en 1806, Verhoesen reçu                       sa formation dans les ateliers de Bruno van Straaten, Jan van Ravenzway, Pieter Gerardus van Os et Barend C. Koekoeck.             Chacun de ces artistes a eu une influence sur son style mais                     le choix de son sujet a été grandement influencé par Van Os,                 dont la famille artistique a été parmi les plus influente au cours             du 19e siècle. Comme son maître, Verhoesen a choisi de peindre         des paysages ruraux se concentrant souvent sur ​​un petit groupe d'animaux.

La représentation des animaux de la ferme est issue d’une des           plus longues traditions à la fois dans l'art hollandais et flamand,             et au 19ème siècle, elle a atteint une grande popularité.                      Avec la révolution industrielle en cours et une population de plus          en plus urbaine, les riches mécènes aspiraient à des représentations   de la vie à la campagne, il y eut alors de nombreux artistes fort heureux de satisfaire à cet engouement comme Rosa Bonheur,            en France, Arthur C. Tait, en Amérique, John F. Herring, en Angleterre et  Albertus Verhoesen, en Hollande (pour n'en nommer que quelques-uns) qui concentrèrent leur immense talent sur ​​la représentation de ces animaux familiers.

Albertus Verhoesen, parmi ces artistes, fait figure de l’un des      maîtres. Verhoesen continua à peindre ces remarquables œuvres intimes et rurales jusqu'à sa mort le 27 Février 1881.

Aujourd'hui plusieurs exemples de son travail peuvent être          admirés dans les musées de Harlem et d'Utrecht .

91.

VERHOESEN Albertus 1806-1881

" Vaches dans un pré "

Huile sur panneau parqueté

Signé en Bas à Gauche

21,5x25 cm

Johan Barthold Jongkind, né à Lattrp, aux Pays-Bas, le 3 juin 1819         et mort à Saint-Egrève, en France, le 9 fév. 1891, est un peintre, aquarelliste et graveur néerlandais.

Jongking est aujourd'hui considéré comme l'un des précurseurs           de l'impressionnisme.

En 1846, il s'installe à Paris et devient l'élève de Jean-Baptiste       Isabey et étudie le dessin et surtout à l’aquarelle d’après nature.

Il expose deux toiles au Salon de peinture et de sculpture de Paris       de 1852 et obtient une médaille de troisième classe parmi les douze décernées.

Par la suite, il quitte Paris et rentre aux Pays-Bas. Il s'installe à Rotterdam où il sera soutenu par la reine Sophie.

Entre-temps, la plus grande partie de ses œuvres (une centaine), restée à Paris, est mise en vente par son ami Pierre-Firmin Martin.      Le résultat de la vente permettra de solder ses dettes.

Toujours sous les auspices de Martin, il expose au Salon de Dijon de 1858 et y obtient une médaille. Il est de retour à Paris en avril 1860. Cette même année, il rencontre Madame Joséphine Fesser, née Borrhée, à Namur en 1819, qui devient son « bon ange ».                           Il s'installe rue de Chevreuse, près du boulevard du Montparnasse.

Dans les années 1860, il travaille et expose avec les peintres de     l'école de Barbizon. Son goût des marines l’attire sur la côte    normande. Il y fait en 1862, grâce à Moret, un élève d’Isabey, la connaissance d’Eugène Boudin sur qui il a une grande influence.            De même, Claude Monet qu'il rencontre en 1862 lors de séjours communs à la Ferme Saint-Siméon à Honfleur, reconnaîtra sa           dette envers Jongkind :  

« c'est à lui que je dois l'éducation définitive de mon œil ».

En 1863, il se fixe à Honfleur. Contrairement aux impressionnistes,          il exécute ses toiles à l'atelier d'après ses croquis et ses aquarelles réalisés à l'extérieur. La même année, il participe au fameux                  «  Salon des Refusés » avec Ruines du château de Rosemont (aujourd’hui  dans les collections du musée d'Orsay). En 1869, il effectue son dernier séjour aux Pays-Bas, mais servi par sa grande mémoire visuelle, jusqu’à la fin de son existence, il continuera à s’inspirer de son pays natal pour certaines de ses œuvres.

Il acquiert petit à petit la célébrité, (le succès auprès du grand      public  ne vient pas avant 1870), et certains des marchands d'art        les plus célèbres du temps, tels Hector Brame ou Adolphe Beugniet,       exposent ses toiles dans leurs galeries.

En 1871, Edmond de Goncourt écrit dans son Journal  :

« Tout le paysage qui a une valeur à l'heure qu'il est descend de            ce peintre, lui emprunte ses ciels, ses atmosphères, ses terrains ».

En 1878,  Jongkind vient habiter à La Côte-Saint-André, village          natal d'Hector Berlioz, pour y mener une existence paisible.                      Il produira, dans sa période dauphinoise, beaucoup d'aquarelles.            Il n'est plus tenu à peindre de commande, il est au contact des habitants et des paysans qu'il croque inlassablement.

Cependant l’abus d’alcool et sa sensibilité exacerbée l'amènent              à être interné à Saint-Egrève, où il meurt le 9 février 1891.                        Il est enterré à La Côte-Saint-André.

62.

JONGKIND Johan Bartold 1819-1891 

" Les Patineurs "
Encre de chine Signée en Bas à Droite

17x24 cm

Prov : Maison du Dr Gachet-Auvers sur Oise-

109.

ROBECCHI Enrico 1827-1889

" Place à Venise "

Pastel gouaché Signé en Bas à Droite

53x45 cm

108.

CHERKAOUI. A  Xxème 

" Abstraction "

Technique mixte et collages, signature et date 

49x64 cm

Tsuchiya Tilsa Castillo Peintre et écrivain péruvien.

Née à Supe, Pérou le 24 sept. 1929 et décédée le 23 sept. 1984             elle est considérée comme l'un des plus grands représentants de         la  peinture au Pérou.

Tilsa Tsuchiya est née à Supe, au nord de Lima, en 1929.                        Son père, Yoshigoro Tsuchiya (1878-1947) est né à Chiba,                       au Japon et est venu au Pérou après des études de médecine                    aux États-Unis, il s'est marié avec Maria Luisa Castillo.

Elle a étudié à l'École des Beaux-Arts de Lima, puis dans les ateliers d'artistes tels que Carlos Quizpez Asin et Ricardo Grau, en plus        d'être élève direct du peintre Manuel Zapata Orihuela.

Depuis, sa création se distingue par sa personnalité unique avec           un propre style. Elle fut diplômée de la médaille d'or de peinture,          de la promotion 1959. Elle a participé à l’exposition péruvienne              de la «Première Biennale de la jeunesse», organisée à Paris en       1958. 

En 1960, elle a séjourné en France pour y étudier la gravure à          l'Ecole des Beaux-Arts et Histoire de l'Art à la Sorbonne,           demeurant jusqu'au milieu des années soixante-dix.                                Les œuvres  liées à cette période Parisienne sont reconnaissables      aux tonalités sombres et à un esthétisme minimaliste.

Son art est devenu plus visible avec son exposition à l'Institut d'Art Contemporain en 1968. En 1970, elle obtenu le Prix Tecnoquímica,      une reconnaissance qui consolida sa carrière vers l’international.         

En 1975 elle est de retour au Pérou.

Dès lors, son travail commence à acquérir des éléments de         fantaisie et fiction, intégrant les aspects de l'imagerie et la     mythologie des Quechua, des influences indigènes et péruviennes    mais également européennes , donnant à ses œuvres un aspect surréaliste très personnel.

Elle meurt d'un cancer en 1984, à 55 ans.

La culture populaire, le réalisme social et l'indigénisme sont ses premières influences, fusionnant une personnalisation avec ses origines japonaises en outre la mythologie Quechua et l'art précolombien devinrent également ses pôles d’inspiration.               Les images figuratives, dramatiques ou mystérieuses faisaient       partie de sa vision de l'univers extérieur comme une projection            de son monde intérieur.

Au cours de la dernière année de sa vie, Petroperu a consacré             une exposition rétrospective qui a rassemblé environ 50 œuvres créées entre 1959 et 1984. C'était la première fois son œuvre    picturale s’exposait en une vue d'ensemble et l'impact a été si            fort que cette exposition a permis de consolider le mythe Tilsa              et de la placer parmi les plus grands créateurs.

Aujourd'hui, elle est reconnue comme étant l’un des plus grands peintres du groupe surréaliste Péruvien de la décennie des années soixante-dix.

50.

TSUCHIYA Tilsa 1932-1984  

" Nature morte surréaliste, 71 " 

Huile sur toile Signée en Bas à Droite  et datée 71 

65x54 cm  Prov : Collection de Mme F...

Achetée à la galerie Carlos Rodriguez-Lima à la fin des

années 70

VLADIMIR MAKOVSKI

Vladimir Egorovitch Makovski, né le 7 fév. 1848 à Moscou et mort           le 21 fév. 1920 à Petrograd (aujourd’hui Saint Pétersbourg).

Peintre de genre réaliste, il s’est illustré dans les portraits.

Il fut également grand collectionneur d’art.

Vladimir Makovski est le fils d'Egor Ivanovitch Makovski,       collectionneur d'art et l'un des fondateurs de l'École de peinture,           de sculpture et d'architecture de Moscou.

Il est nommé académicien en 1873 avec son tableau " Les Amateurs   de rossignol  " qui est exposé à l'exposition internationale de Vienne.    Il s'attire l'admiration de Dostoïevski. Makovski enseigne à l'école de peinture, sculpture et architecture de 1882 à 1894 et de 1894 à 1918    à l'Académie impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg, dont il devient recteur en 1895.

Il fut l'un des peintre préféré  de l'impératrice Maria Fiodorovna       dont il réalisa le portrait officiel en 1885.

60.

MAKOVSKI Vladimir Egorovitch 1846-1920

" Femmes russes dans un intérieur, 1914 "
 

Aquarelle

Signée en Bas à Gauche et datée

48x30 cm