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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 16:10
Chaville EnchèresEvoque la Haute Couture à Paris qui célèbre un siècle de haute couture à l'Hôtel de ville

La haute couture, appellation strictement parisienne, a contribué au rayonnement international de la capitale, qui lui rend hommage avec une exposition rare consacrée à cet art majeur à l'Hôtel de ville, où l'histoire résonne avec le présent.

 
Photographe : Martin Bureau :: Préparation de l'exposition sur la haute couture à l'Hôtel de ville de Paris, le 28 janvier 2013photo : Martin Bureau, AFP

Une robe de Charles Frederick Worth de la toute fin du 19e siècle au côté d'un ensemble du soir de Christian Lacroix du début des années 1990. Une robe du soir de Beer de 1912 et une autre de Riccardo Tisci pour Givenchy de 2010.

S'il n'y avait des indications sur la date et le nom du couturier, le visiteur aurait souvent du mal à deviner l'époque. Tout comme pour une robe de satin ivoire-doré de Madeleine Vionnet circa 1931, que chaque femme d'aujourd'hui voudrait porter.

C'est voulu ! " Pour qu'il n'y ait pas d'un côté les anciens et de l'autre les récents ", explique à l'AFP Olivier Saillard, commissaire d'une exposition ouverte gratuitement au public.

" Worth-Lacroix, on ne sait plus qui est qui ! " s'amuse M. Saillard, également directeur du musée Galliera, fermé pour travaux et qui a choisi la majestueuse salle Saint-Jean de l'Hôtel de ville comme écrin.

L'exposition, soutenue par la maison Swarovski née aussi à la fin du 19e siècle, navigue entre robes de bal richement ornées et les tailleurs de jour unis à l'architecture époustouflante.

Les expositions historiques sur la haute couture sont très rares et nombre de modèles présentés ne l'ont pas été depuis des décennies.

Olivier Saillard et Anne Zazzo, conservatrice en chef du musée, ont puisé dans les réserves de Galliera, situées dans un lieu secret de Paris, sélectionnant une centaine de modèles haute couture sur les 10.000 en stock.

Les deux premiers sont évidemment de Worth, " cet Anglais installé en France et qui y a inventé la haute couture ", aime à rappeler Olivier Saillard. Puis est venue celle de Lacroix puis Poiret et Galliano, etc.

Le tout jusqu'à un incroyable ensemble du soir de Cristobal Balenciaga en gazar, fleurs de taffetas et plumes d'autruche. Un des derniers modèles du couturier espagnol qui a choisi en 1968 de fermer sa maison face à l'avènement du prêt-à-porter.

" C'était une manière de reconnaître qu'il y a un monde qui se termine ", constate Olivier Saillard.

En fermant l'exposition sur Balenciaga, " on ne veut pas dire qu'il porte un coup d'arrêt à l'industrie de la haute couture mais qu'il pose des questions contemporaines sur la haute couture: est-ce que la haute couture peut encore vivre? A-t-elle encore une clientèle? Est-ce que ce n'est pas un exercice médiatique? Etc. ", poursuit-il.

De fait les années 70 " ont été difficiles " pour ce secteur, explique le commissaire d'exposition. Il a fallu attendre le milieu des années 80 avec l'arrivée des Lacroix chez Patou et Lagerfeld chez Chanel " pour qu'elle redevienne un sujet d'expression ". Un laboratoire de création aussi depuis 1990.

Le visiteur pourra aussi voir la naissance d'un modèle du dessin à la réalisation grâce à la maison Chanel, des carnets de collections ou des échantillons de broderies ainsi que de nombreuses photos d'atelier témoignant que la couture "se fait à plusieurs mains", selon l'expression d'Olivier Saillard.

Des mains qui se raréfient, même si le nombre des clientes a augmenté depuis 15 ans grâce à l'arrivée de commandes en provenance de Chine, du Brésil ou de Russie en plus du Moyen-Orient.

7.600 entreprises parisiennes vivent encore de la mode (tissage, fourrure, broderies, plumes, cuir, etc.) et plus de 60.000 emplois y sont directement liés. Il reste une vingtaine de maisons de haute couture. Elles étaient une soixantaine au début des années 50.

" Heureusement que les Dior, Chanel, Jean Paul Gaultier ou de plus jeunes participent à cette entreprise patrimoniale de garder des savoir-faire ", conclut Olivier Saillard.

Source : AFP

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 11:32

Chaville Enchères A propos de l'exposition CHAGALL


Événement majeur de ce mois de février, l'exposition Chagall entre guerre et paix invite à la découverte des thèmes fondateurs de l’œuvre de Chagall : sa ville natale en Russie, l’exil, la tradition juive, le couple… 

Les temps forts de son histoire personnelle se retrouvent au fil de ses toiles, du témoignage des ravages des conflits qui ont heurté le XXe siècle à la volonté sereine de retrouver le bonheur passé.

Refusant de suivre les codes et les mouvements, Chagall choisit sa palette et revendique son envie de peindre ses contemporains, sa curiosité, et son profond désir de liberté.

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 10:00

 

Chaville Enchères A propos de la prochaine expostion du Musée de la Toile de Jouy

 

 

Nouvelle exposition : " Indiennes Sublimes "

Indes, Orient, Occident, costumes et textiles imprimés

des XVIIIe et XIXe siècles !

Du 21 février au 23 juin 2013



L’exposition "Indiennes sublimes" est proposée au musée de la Toile de Jouy par la "Villa Rosemaine", centre d’étude et de diffusion du patrimoine textile situé à Toulon, animé par Serge Liagre entouré de nombreux collectionneurs provençaux passionnés : ils vous présentent une sélection de leurs plus belles pièces parmi lesquelles de nombreux costumes.
Elle est enrichie par des costumes inédits et des indiennes issues des collections du musée de la Toile de Jouy.

L’exposition présente les indiennes, toiles de coton peintes et imprimées des Indes, de Perse, de Provence mais aussi de Jouy : près de 200 pièces textiles (palampores, chafarcanis, courtepointes, kalamkaris…) dont une vingtaine de mannequins costumés de différentes époques : arlésienne du XVIIIe, marseillaise du XVIIIe, bourgeoise du XIXe, robe 1er Empire, robe Napoléon III…

Exposition "Indiennes Sublimes" :  en savoir plus...

Samedi 13 avril : conférence « Des indiennes aux toiles de Jouy, voyage des techniques, voyage des motifs »
Par Aziza Gril-Mariotte
A 15h, entrée gratuite - sur réservation
 Réservation en ligne possible
En savoir plus...

Pendant l'exposition vous pouvez aussi visiter la collection permanente du Musée,
ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h, toute l'année

Pour vous faciliter la visite : des  audio-guides sont disponibles en français, anglais, allemand ou espagnol, au tarif de 1€.
Une version a été conçue pour les enfants. 

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 16:21

Chaville EnchèresVous parle de l'exposition évènement Hopper au Grand Palais

CHAVILLE ENCHERES Edward HOPPER-2

 

La rétrospective du peintre Américain devient la deuxième exposition la plus fréquentée du Grand Palais depuis plus de quarante ans...

Didier Ottinger, directeur-adjoint du Musée national d'Art moderne et commissaire de l'exposition, n'en revient pas. «C'est beaucoup, beaucoup plus que prévu», s'est-il exclamé lundi. Plébiscitée par plus de 784.000 visiteurs, la rétrospective de l'Américain Edward Hopper devient la deuxième exposition la plus fréquentée du Grand Palais depuis plus de quarante ans, après «Monet» en 2011 qui avait attiré 913.064 visiteurs et devant «Picasso et les maîtres» en 2009, qui avait reçu 783.352 visiteurs.

Tout savoir sur Edward Hopper (sans avoir vu l'expo)

« Le bouche-à-oreille a formidablement fonctionné. Même aux Etats-Unis, Hopper n'a jamais fait autant », s'est réjoui Dider Ottinger. 

Du 10 octobre au 3 février, l'exposition a réuni 164 oeuvres dont 128 d'Edward Hopper (1882-1967). Prolongée de six jours en raison de son succès, l'exposition a culminé avec une ouverture en continu de 62 heures qui s'est terminée dimanche soir. Pendant ces trois jours et deux nuits, 47.949 visiteurs dont 14.262 noctambules se sont pressés au Grand Palais

« Une passion française pour l'Amérique »

CHAVILLE ENCHERES Edward HOPPER

Le succès d'Hopper « traduit une passion française pour l'Amérique, sa culture, ses images », considère M. Ottinger. « Une Amérique qui ne se résume pas au consumérisme, une Amérique plus pensive, plus subtile plus humaine ». « Il prouve aussi l'intérêt pour le réalisme américain dont les Français ont été singulièrement sevrés. Pendant longtemps, on a présenté surtout l'art moderne américain de l'après-guerre », ajoute le commissaire. « On a occulté les peintres américains du début du XXè siècle. Hopper n'est que le brise-glace de cette tradition réaliste ».

La fréquentation élevée témoigne également de l'engouement des Français pour les grandes expositions. « C'est une spécificité française. Les musées et les expositions ont une place centrale dans leur idée de la culture, avec les livres et le cinéma », explique à l'AFP Fabrice Bousteau, le directeur de la rédaction de Beaux-Arts Magazine

Pour Nathalie Heinich, sociologue au CNRS, «cela traduit la hausse du niveau d'études des Français. Mais aussi l'intensification de l'offre grâce à l'augmentation des moyens des établissements culturels depuis trente ans». «C'est le fruit d'une politique culturelle».

  Sources : AF-20 minutes
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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 11:50

Chaville EnchèresQuand Léonard de Vinci peignait Mona Lisa dix ans avant la Joconde...

 

 

"La Joconde", à droite, et le tableau entreposé en Suisse qui en serait une version antérieure, à gauche.

"La Joconde", à droite, et le tableau entreposé en Suisse qui en serait une version antérieure, à gauche. FABRICE COFFRINI / AFP

La «Mona Lisa d'Isleworth» a été peint 10 ans avant la Joconde par Leonard de Vinci, et représente la même femme, mais avec 10 ans de moins...

Conservé pendant une quarantaine d'années dans un coffre en Suisse, le tableau avait été présenté fin septembre par la Mona Lisa Foundation comme une version antérieure de la célèbre Joconde de Leonard de Vinci. La Fondation indiquait alors avoir rassemblé les «preuves historiques, comparatives et scientifiques qui démontrent qu'il y a toujours eu deux portraits de la Mona Lisa par Leonard de Vinci: la version antérieure et La Joconde».

Mais les experts en doutaient.

Ce serait pourtant bien le cas : de nouveaux tests, l'un effectué par un spécialiste en «géométrie sacrée», l'autre par l'Institut fédéral de technologie de Zurich, ont montré que le tableau était bien de la main du maître de la Renaissance, a indiqué mercredi une fondation d'art basée en Suisse.

Une «preuve écrasante»

«Lorsque nous ajoutons ces nouvelles découverts à la somme des études scientifiques et physiques déjà existantes, je pense que tout le monde y verra la preuve écrasante que Leonard de Vinci en est bien l'auteur», a déclaré le vice-président de la fondation, David Feldman.

La «Mona Lisa» exposée au Louvre depuis plus de trois siècles a longtemps été considérée comme unique. Mais de nombreux soutiens ont conduit la Fondation Mona Lisa à prouver l'authenticité de cet autre portrait, appelé la «Mona Lisa d'Isleworth», qui représenterait la Joconde dix ans auparavant.

Sources AFP-20minutes et A.L avec Reuters
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8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 12:25

  Chaville Enchères Les nouveaux mystères du tableau le plus secret de l'histoire de l'Art

 

CHAVILLE-ENCHERESoriginedumonde-A-.jpg

 

L’origine du monde
Gustave Courbet, 1866
Huile sur toile, 46 x 55 cm
Paris, Musée d'Orsay depuis 1995

 

 

La Génèse de l'Origine du Monde

C'est l'histoire sans fin d'une Oeuvre dissimulée aux yeux de tous et dont tout le monde a parlé....

Voilà un tableau resté caché, secret pendant plus d'un siècle. 

Aujourd'hui l'Origine du monde aurait retrouvé son visage...

Coup de tonnerre dans le monde de l'art, ce jeudi 7 février 2012 !

Pour Paris-Match, un amateur de tableaux aurait mis un nom et un visage sur la célèbre toile de Courbet.

L'enquête ne fait que commencer...

L’analyse scientifique de la toile, la signature cachée dans l’oreille, les fils de trame, les traces du chassi disparu, le cachet du marchand de couleurs parisien… tout indique que le célèbre tableau de Gustave Courbet, "L’Origine du monde", exposé au Musée d’Orsay depuis 1995, serait un morceau d’un tableau plus vaste dont un passionné d’art aurait retrouvé le visage.

Cette histoire est révélée par "Paris-Match" ce jeudi 7 février. Au risque de déconstruire la fascination que pouvait exercer sur le spectateur cette "Origine du monde" au sujet si audacieux et au cadrage si singulier pour l’époque de sa création, à la fin des années 1860. 

Pour reconstruire le puzzle, le passionné qui a souhaité rester anonyme a mené deux années d’enquête. A arpenté la bibliothèque du musée du Louvre et l’Institut national d’histoire de l’art, consulté le Centre de recherche et de restauration des musées de France, la Compagnie des experts spécialisés en œuvres d’art, et bien sûr le grand spécialiste de Gustave Courbet : Jean-Jacques Fournier. Qui confirme.

L’histoire ? Un amateur tombe sur le portrait d’une jeune femme chez un antiquaire. La beauté de ce tableau de 41 cm sur 33 cm, le trait, la couleur retiennent son attention. Il l’achète 1.400 euros. Et convaincu qu’il s’agit de l’œuvre d’un grand peintre, il mène l’enquête. Le cachet du marchand de couleurs, Deforge-Carpentier, lui permet ainsi d’identifier que le tableau a été réalisé entre 1858 et 1869. Puis en avril 2012, c’est une experte de la Compagnie des experts spécialisés en œuvres d’art, Sylvie Brame, qui reconnaît l’auteur : "la touche emportée, ample et sensuelle, la carnation si parfaite, si réaliste" de Gustave Courbet.

L'amante de Courbet sur la toile de Courbet ? 

A fil de ses recherches, et coups de chances, l’amateur établit un rapprochement entre son tableau et l’"Origine du monde". Il lui restera à prouver qu’il s’agit bien d’une seule et même toile. Date de création imprécise, nom de l’œuvre absent… On ne sait pas grand chose de ce tableau mythique en réalité, sinon qu’il a appartenu au diplomate ottoman Khalil-Bey.

Plusieurs indices mettent l’amateur sur la piste, depuis le découpage probable de certaines toiles de Courbet jusqu’à son tableau "La femme au Perroquet", présenté au Metropolitan Museum de New York, dans lequel le visage de la femme ressemble étrangement à celui du tableau qu’il possède. Dès lors, un nom est s'impose : il s’agit de Joanna Hifferman, amante de Courbet et modèle supposée de l’"Origine du monde" - une jeune femme rencontrée par Courbet lors de séjours à Trouville avec son ami James Whistler.

Radiographies, rayons X, spectrométrie infrarouge… De nombreuses analyses scientifiques permettront de confirmer, au cours de ces derniers mois, qu’il s’agit bien d’un seul et même tableau. Ou le contraire : selon France TV Info, les experts d'Orsay rejettent la thèse défendue par Paris-Match.

Jean-Jacques Fournier a toutefois prévu d'inscrire le portrait au tome III de son prochain catalogue raisonné sur Courbet, en préparation.

Sources : AFP-PARIS MATCH-LE NOUVEL OBSERVATEUR

L'Histoire et les mystères d'un tableau secret

Longtemps, deux textes seulement le décrivaient, l'un de Maxime Ducamp publié en 1877, l'autre de Edmond de Goncourt quelques années plus tard.

Alors qu'on le croyait à jamais disparu, soudain, en 1967, il apparaît dans un livre du docteur Zwang, Le sexe de la femme. Photographie unique d'un photographe anonyme qui ne cessa ensuite d'être dupliquée avec des informations contradictoires sur sa localisation entre Budapest et Paris.

En 1982, lors d'un entretien télévisé réalisé par Jean-Paul Fargier, le trou de la vierge où Philippe Sollers est interrogé par Jacques Henric, André Cuny révèle avoir vu le tableau chez Lacan, caché derrière un tableau d'André Masson. Jacques Lacan, comme les précédents possesseurs du tableau, avait trouvé un moyen de le soustraire au regard commun pour mieux le faire briller lorsqu'il apparaissait dans des conditions exceptionnelles à ses visiteurs.

L'histoire du tableau

Khalil-Bey (1831-1879) est le premier propriétaire du tableau. Il possède à Paris une collection d'une centaine d'œuvres, l'une des plus belles du moment (Delacroix, Chasseriaux, Ingres, Courbet). Ce riche diplomate, possède des chevaux, attire le tout Paris, à pour maîtresse Jeanne de Tourbay (1837-1908), l'une des grandes demi-mondaines qui tient salon.

Khalil-Bey souhaite acquérir Venus et psyché, tableau aujourd'hui disparu. Mais Courbet vient de le vendre. Il propose de réaliser pour lui "la suite", Le sommeil... Son nu le plus audacieux.

L'origine du monde est-elle une commande ou un cadeau pour faire passer le prix élevé : 20 000 francs alors que La femme au perroquet était estimé à 6 000 francs par l'administrateur des beaux-arts ?

Pour l'historienne Michèle Haddad, Khalil-Bey serait rentré à Paris en 1866 pour soigner de sa syphilis. Il aurait alors pu commander une Icône de la source de ses plaisirs et de ses tourments, une sorte d'ex-voto, d'image pieuse dans laquelle il vénère la puissance qui éloigne et rapproche de la mort. Quoi qu'il en soit, il dissimulera le tableau dans sa salle de bains derrière un rideau vert, couleur de l'Islam.

Alors...Qui a posé ?

Jeanne de Tourbay, la maîtresse du commanditaire, Joe l'Irlandaise la maîtresse du peintre, la femme brune du sommeil ou une anonyme sur une photo pornographique qui aurait pu servir de modèle...

Pour le moment, nous pouvons retenir le nom de Joanna Hifferman, l'amante de Courbet dite Joe...affaire à suivre !

Le tableau ridiculise la fausseté de l'académisme, celle d'un Cabanel et dépasse Ingres et même, L'Olympia de Manet qui fit scandale un an auparavant.

En 1868, Khalil-Bey vend sa collection mais L'Origine du monde ne passe pas en vente publique.

En 1889, Edmond de Goncourt après une visite chez le marchand d'art Antoine de la Narde en décrit que derrière "un panneau extérieur représentant une église de village dans la neige, il vit un ventre de femme au noir et proéminent mont de venus sur l'entrebâillement d'un con rose. Devant ce tableau je dois faire amande honorable à Courbet : Ce ventre c'est beau comme la chair d'un Corrège."

1913, Berheim jeune vend L'origine du monde et son cache, tableau également de Courbet, à deux collectionneurs hongrois, le baron Herzog et le baron Hatvany qui emportent les deux tableaux à Budapest. Herzog garde Le château de Blonay, François de Hatvany, L'origine du monde.

En 1944, le château est pillé et Hatvany fuit en France. En 1948, il récupère une partie de ses tableaux dont L'origine du monde qui entre en France caché dans une valise diplomatique.

En 1955, Jacques Lacan et sa femme Sylvia achètent L'origine du monde à Paris. Jacques Lacan a rencontré Sylvia Bataille, la femme de Georges et l'interprète de La partie de campagne de Renoir chez André Masson, qui vit avec la sœur de Sylvia. Accroché à Guitrancourt dans leur maison de campagne, le tableau est caché derrière un panneau, non pas le paysage sous la neige, resté à Budapest mais par un tableau spécialement commandé par les Lacan à André Masson. Masson reprend les courbes du nu de Courbet et compose un paysage érotique qu'il appelle Terre érotique.

Après la mort de Lacan, en janvier 1981, Sylvia prête le tableau pour une exposition à Brooklyn de 1988 puis en 1992 à l'exposition Masson qui a lieu à Ornans.

En 1993, Sylvia meurt. En 1995, ses héritiers par dation remettent à l'état le tableau de Courbet qui entre au Musée d'Orsay.

Source : Jean-Paul Fargier pour le DVD Arte Video

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 10:52

 

Chaville Enchères Vous parle du Mouvement  

CHAVILLE ENCHERES ET LE MOUVEMENT DADA-3

5 février 2013-5 février 1920

un anniversaire brutiste !CHAVILLE-ENCHERES-et-tristan-tzara-pere-du-mouvement-dada--.jpg

 « (...) à priori c'est-à-dire les yeux
fermés, DADA place avant
l'action et au-dessus de tout :
LE DOUTE.

Dada doute de tout.
Dada est tatou. Tout est DADA.
Méfiez-vous de DADA.
Aa l’antiphilosophe. » Tristan Tzara

5 Février 1920 :  Manifestation à Paris du mouvement Dada,

Charlie Chaplin qui adhère au Mouvement, fera une conférence sur le Dadaïme au Salon des Indépendants du Grand Palais !
Tristan Tzara diffuse largement la fausse nouvelle, bientôt reléguée par tous les journaux...

Le Grand Charlot à Paris pour soutenir les Dadas en matinée !

CHAVILLE ENCHERES ET LE MOUVEMENT DADA-2

Ce qu'en dit un journal de l'époque :

« Ce programme attire une foule énorme à laquelle on lit à plusieurs voix des manifestes dadas au milieu d'un furieux désordre de clameurs et de projectiles, après quoi la salle doit être évacuée dans la plus complète obscurité.»

CHAVILLE ENCHERES ET DADA-1

Extrait des souvenirs de Tristan Tzara :
«  Au Grand Palais des Champs-Élysées, des milliers de personnes de tous les milieux manifestèrent très bruyamment, on ne sait pas exactement quoi, leur joie ou leur mécontentement, par des cris imprévus, rires en masse, ce qui constituait un très joli accompagnement aux manifestes lus par 6 personnes à la fois. Les journaux dirent qu'un vieillard se livra dans la salle à des actes plus ou moins intimes, on alluma du magnésium, une femme enceinte dut être transportée dehors. C'est vrai que les journaux avaient annoncé aussi que Charlie Chaplin devait faire une conférence sur le mouvement Dada. Quoique nous ayons démenti, il y avait un journaliste qui me suivait partout. Il croyait à une nouvelle ruse du célèbre acteur qui se réservait la surprise de son apparition. Je me rappelle avec attendrissement que Picabia, qui devait prendre part à la manifestation, disparut au dernier moment. Pendant 5 heures il resta introuvable. La séance se termina par un discours du roi des Camelots, M. Buisson qui a une très curieuse occupation, celle de faire chaque jour, boulevard de la Madeleine, des prédictions sur l'avenir de ceux qui veulent l'écouter. Le soir il vend des journaux à la sortie des métros. »

- Tristan Tzara : Œuvres complètes, Flammarion, 1975.

p.595 – QUELQUES SOUVENIRS: Original inédit en français (TZR 533, dactyl. 12 ff.), publié en anglais, avec quelques coupures: «Some memoirs of Dadaïsm», Vanity fair, New York, juillet 1922.


Tout est dit !

Depuis sa création en 1916, le Mouvement Dada, en réaction à l'absurdité de la Grande Guerre, cumule créations artistiques, autodérision, cynisme, canulars et élan intellectuel.

 

CHAVILLE ENCHERES ET LE MOUVEMENT DADA-4

Textes DADA :


MANIFESTE DE MONSIEUR AA L'ANTIPHILOSOPHE
Lu au Grand-Palais des Champs-Élysées le 5 février 1920. Paru dans Litttérature, n°13, mai 1920, repris dans La Deuxième Aventure céleste de M. Antipyrine.

 

Manifeste CANNIBALE DADA

«Tous êtes accusés ; levez-vous. L'orateur ne peut vous parler que si vous êtes debout.
Debout comme pour la Marseillaise,
debout comme pour l'hymne russe,
debout comme pour le God save the King,
debout comme devant le drapeau
Enfin debout devant DADA qui représente la vie et qui vous accusede tout aimer par snobisme du moment que cela coûte cher
Vous vous êtes tous rassis ? Tant mieux, comme cela vous allez m'écouteravec plus d'attention.
Que faites-vous ici, parqués comme des huîtres sérieuses - car vous êtes sérieux, n'est-ce pas ? Sérieux, sérieux, sérieux jusqu'à la mort.
La mort est une chose sérieuse, hein ?
On meurt en héros ou en idiot, ce qui est la même chose.
Le seul mot qui ne soit pas éphémère c'est le mot mort. Vous aimez la mort pour les autres.
A mort, à mort, à mort.
Il n'y a que l'argent qui ne meure pas, il part seulement en voyage.
C'est le Dieu, celui qu'on respecte, le personnage sérieux - argent respect des familles. Honneur, honneur de l'argent ; l'homme qui a de l'argent est un homme honorable.
L'honneur s'achète et se vend comme le oui. Le cul, le cul représente la vie représente la vie comme les pommes frites, et vous tous qui êtes sérieux, vous sentirez plus mauvais que la merde de vache.
DADA lui ne sent rien, il n'est rien, rien, rien.
Il est comme vos espoirs : rien
comme vos paradis : rien
comme vos idoles : rien
comme vos hommes politiques : rien
comme vos héros : rien
comme vos artistes : rien
comme vos religions : rien
Sifflez, criez, cassez-moi la gueule et puis et puis ? Je vous dirai encore que vous êtes tous des poires. Dans trois mois, nous vous vendrons, mes amis et moi, nos tableaux pour quelques francs.»

Francis PICABIA. Manifeste CANNIBALE DADA

 

lu par André BRETON à la Troisième Soirée Dada au Théâtre de la Maison de l'Oeuvre,
Paris, le 27 mars 1920.
Publié dans Dada n°7 - DADAphone , Paris, mars 1920
dans Der Dada, numéro 3, Berlin, avril 1920
& dans l'Almanach Dada, Berlin, juin 1920

« VOUS NE COMPRENEZ PAS
N'EST-CE PAS CE QUE NOUS
FAISONS.
EH BIEN CHERS AMIS NOUS
LE COMPRENONS ENCORE
MOINS.
QUEL BONHEUR HEIN VOUS
AYEZ RAISON. J'AIMERAIS
COUCHER ENCORE UNE FOIS
AVEC LE PAPE, VOUS NE
COMPRENEZ PAS? MOI NON
PLUS COMME C'EST TRISTE.
Vivent les concubines et les
concubistes. Tous les membres
du Mouvement DADA sont
présidents.
»

 

Quelques Présidents et Présidentes :

D Aisen, Louis Aragon, Alexandre Archipenko, W.-C. Arensberg, Maria d'Arezzo, Céline Arnauld, Arp, Cansino d'Assens, Baader, Alice Bailly, Pierre-Albert Birot, André Breton, Georges Bucket, Gabrielle Buffet, Marguerite Buffet, Gino Cantarelli, Carefoot, Maja Chrusecz, Arthur Cravan, Crotti, Dalmau, Paul Dermée, Mabel Dodge, Marcel Duchamp, Suzanne Duchamp, Jacques Edwards, Carl Einstein, Paul Eluard, Max Ernst, Germaine Everling; J. Evola, O. Flake, Théodore Fraenkel, Augusto Giacometti, Georges Grosz, Augusto Guallart, Hapgood, Raoul Hausmann, F. Hardekopf, W. Heartfield; Hilsum, R. Huelsen­beck, Vincente Huidobro, F. Jung, J.-M. Junot ; Mina Lloyd, Lloyd, Marin, Walter Mehring, Francesco Meriano, Miss Norton, Edith Olivié, Walter Pack, Clément Pansaers, Pharamousse ; Francis Picabia, Katherine N. Rhoades, Georges Ribemont-Dessaignes, H. Richter, Sardar, Chris­tian Schad; Schwitters, Arthur Segal, D r V. Ser ner, Philippe Soupault, Alfred Stieglitz, Igor Stra­vinski, Sophie Tæuber, Tristan Tzara, Guillermo de Torre, Alfred Vagts, Edgar Varèse, Lasso de la Vega, Georges Verly, A . Wolkowitz, Mary Wigman.

Bon Non-Anniversaire, Dada !

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4 février 2013 1 04 /02 /février /2013 14:38

 

BD :
Le Grand Prix d'Angoulême attribué à Willem

Le dessinateur

satirique néerlandais Willem, 71 ans, a été couronné par le Grand Prix d'Angoulême ce dimanche 3 février.

CHAVILLE-ENCHERES-WILLEM-BD-ANGOULEME.jpg

Le 40e festival de la BD a également récompensé Christophe Blain et Abel Lanzac et leur "Quai d'Orsay. Chroniques diplomatiques" (tome 2) qui remporte le Prix du meilleur album.

Le 40e festival de la bande dessinée d'Angoulême s'est achevé dimanche. Les organisateurs ont récompensé Willem, pour l'ensemble de sa carrière, et lui ont attribué le Grand Prix. Ce dessinateur de 71 ans, né au Pays-Bas, vit en France depuis 1968 où, à son arrivée il collabore avec le journal Hara Kiri.

Il a notamment dessiné pour Libération et pour le journal néerlandais Provo.

L'auteur du mythique Dragon Ball récompensé

Le Prix du meilleur album a été attribué au best-seller Quai d'Orsay. Chroniques diplomatiques (tome 2) du dessinateur Christophe Blain et du scénariste Abel Lanzac.

A noter également un Prix spécial au Japonais Akira Toriyama. Le dessinateur de 57 ans et l'auteur de Dragon Ball, le manga le plus vendu au monde... 230 millions d'exemplaires à ce jour.

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Palmarès du 40e festival de la BD d'Angoulême

-Grand Prix d'Angoulême : Willem (Pays-Bas)   
-Fauve d'or du Meilleur album : Quai d'Orsay Chroniques diplomatiques. Tome 2 (Dargaud) de Christophe Blain (dessin) et Abel Lanzac (scénario)   
-Prix spécial du 40e Festival pour l'ensemble de son oeuvre: Akira Toriyama (Japon)  
-Prix spécial du jury : Le Nao de Brown (Akileos) de Glyn Dillon (GB) 
- Prix de la Série : Aama. Tome 2. La multitude invisible (Gallimard) de Frederik Peeters (Suisse)   
- Prix Révélation : Automne (Nobrow) de Jon McNaught (GB)   
- Prix du Patrimoine : Krazy Kat. 1925-1929 (Les Rêveurs) de l'Américain George Herriman décédé en 1944.     
- Prix du Public Cultura : Tu mourras moins bête (Ankama) de Marion Montaigne   
- Fauve du Polar SNCF : Castilla Drive (Actes Sud/L'An 2) d'Anthony Pastor   
- Fauve Jeunesse : Les Légendaires Origines. Tome 1 (Delcourt) de Sobral et Nadou.

Source : FranceInfo

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 18:49

Chaville Enchères Vous parle du fim

" Renoir "

CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-AFFICHE

" Je ne pourrais me passer d'un modèle

même si je le regarde à peine " Renoir


Dans sa palette, Renoir aime ce qui est aimable et gracieux CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-NU DE DOS et ne résiste pas au plaisir de rendre la nacre et l'or d'une peau "qui accroche bien la lumière".

L'univers de l'artiste est rond et harmonieux et le restera jusqu'à la fin, malgré les rhumatismes paralysants, malgré la souffrance des dernières années.

 

Paradoxalement, aucun film sur Renoir n'avait été réalisé alors que Van Gogh, par exemple, a déjà fait l'objet de plusieurs films.

Michel Bouquet incarne magistralement le rôle du peintre vieillissant dans le film de

Gilles Bourdos, le réalisateur, lequel a mit l'accent sur la fin de la vie de Pierre Auguste Renoir à Cagnes sur mer. Le film commence en 1915.

 

Bande Annonce b ok mod ident

Le film :

1915. Sur la Côte d’Azur. Au crépuscule de sa vie, Auguste Renoir est éprouvé par la perte de son épouse, les douleurs du grand âge, et les mauvaises nouvelles venues du front : son fils Jean est blessé… Mais une jeune fille, Andrée, apparue dans sa vie comme un miracle, va insuffler au vieil homme une énergie qu’il n’attendait plus. Éclatante de vitalité, rayonnante de beauté, Andrée sera le dernier modèle du peintre, sa source de jouvence.
Lorsque Jean, revenu blessé de la guerre, vient passer sa convalescence dans la maison familiale, il découvre à son tour, fasciné, celle qui est devenue l’astre roux de la galaxie Renoir. Et dans cet éden Méditerranéen, Jean, malgré l’opposition ronchonne du vieux peintre, va aimer celle qui, animée par une volonté désordonnée, insaisissable, fera de lui, jeune officier velléitaire et bancal, un apprenti cinéaste…


Récompenses
  7 nominations 
 

Secrets de tournage :

 Recréer le passé

 Le tournage du film n'a pas eu lieu dans le domaine des Collettes, où Renoir a passé les dernières années de sa vie et qui est depuis devenu un musée consacré au peintre, mais dans la région du Var pour conserver la belle lumière du sud de la France.

Filmer la peinture

En matière de films sur le travail de la peinture, Gilles Bourdos a pensé à la démarche de deux cinéastes : "J’avais en tête deux grandes postures opposées : celle de Maurice Pialat (Van Gogh, 1991) qui refuse totalement de filmer le peintre au travail et celle de Vincente Minnelli (La Vie passionnée de Vincent Van Gogh, 1956) qui cite frontalement les situations dépeintes dans les tableaux par la mise en scène". Au final, le cinéaste a choisi de montrer le peintre au travail sans pour autant citer des œuvres de Renoir.

 

CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-PORTRAIT 2013Bouquet et Renoir

 
Pour le metteur en scène Gilles Bourdos, il était évident que Michel Bouquet devait interpréter Renoir, en raison des points communs entre les deux hommes :CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-PORTRAIT 1915
"J’ai trouvé chez Michel la même émouvante obstination au travail que chez Renoir, le même courage face à l’adversité (...) ce qui m’intéressait chez lui, outre l’immense comédien qu’il est, c’est le rapport du "vieux maître" aux jeunes acteurs", explique-t-il. 


Trouver le peintre

 
Pour comprendre qui était Pierre-Auguste Renoir, l'acteur CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-PORTRAIT A LA CASQUETTE 2013 Michel Bouquet a lu plusieurs fois le livre "Pierre-Auguste Renoir, mon père" écrit par Jean Renoir ce qui lui a donné l'impression de ne pas trahir le peintre : "Je me suis senti accompagné par l'être qu'il était", explique l'acteur.

Il aussi visionné CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-PORTRAIT A LA CASQUETTE 1915 un court-métrage réalisé  par Sacha Guitry, Ceux de chez nous (1914), où apparaît le peintre au travail.

Du personnage à la personne

 
Interpréter le rôle de Jean Renoir pouvait présenter certains pièges pour son jeune acteur, que le cinéaste cherchait à éviter : "Il y avait le risque que Vincent Rottiers s’inspire des prestations de Jean Renoir dans ses propres films, autrement dit celles d’un grand bourgeois qui aimait camper des faubouriens à la limite de la caricature. Je lui ai demandé surtout de s’approprier la situation", explique Gilles Bourdos.


CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-1L'homme aux doigts d'or

 
Impossible de filmer les oeuvres authentiques de Renoir, aussi toutes les peintures présentes dans Renoir ont été réalisées par Guy Ribes, célèbre faussaire qui imitait le style des grands maîtres de la peinture comme Chagall, Picasso ou Matisse. Il fut condamné en 2004 à trois ans de prison et contacté par Gilles Bourdos à sa libération.

Changement

A l'origine, c'est Jean-Pierre Marielle qui devait interpréter le rôle de Pierre-Auguste Renoir.

 

Fiche du film :

Réalisateur : Gilles Bourdos
Acteurs : Michel Bouquet, Christa Theret, Vincent Rottiers
Durée : 1h51 
Date de sortie FR : 02-01-2013

 

"Je suis comme le bouchon qui se laisse porter par le courant"....

Rejoignons donc Renoir et laissons-nous porter par sa peinture.

Renoir-Vte 25.11.12 CHAVILLE ENCHERESUn tableau de Pierre Auguste Renoir vendu aux enchères à CHAVILLE ENCHERES, le 27 janvier 2013

 

Bibliographie :

CHAVILLE ENCHERES FILM RENOIR-JACQUES RENOIR LE TABLEAU AMO 

 

Jacques Renoir :

" Le tableau amoureux "

dont est inspiré le film.

 

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 12:36

 

Chaville EnchèresPrésente :

 

Le rêve de la Haute Joaillerie....

Toute l’audace de la création d’une grande maison de joaillerie est mise en lumière dans la nef des Arts Décoratifs, à travers plus de 500 bijoux, qui font la renommée de Van Cleef & Arpels depuis 1906.

Ces pièces prestigieuses sont exposées au regard de nombreux documents d’archives et dessins. L’histoire de Van Cleef & Arpels est jalonnée d’inventions techniques transmises de génération en génération par les Mains d’Or des ateliers. Ces savoir-faire, tenus secrets, alliés à une imagination et des sources d’inspiration très libres sont à l’origine de ce formidable foisonnement de formes et de modèles. Le Serti Mystérieux, les bijoux transformables, la Minaudière, ou encore les pièces inspirées par la Couture caractérisent le style hautement reconnaissable de la Maison.

Parmi les créations les plus emblématiques figurent ainsi le collier Zip, suggéré par la Duchesse de Windsor et réalisé en 1951, ainsi que la collection Alhambra qui rencontre un vif succès depuis plus de quarante ans.


À partir de 2000, année de l’acquisition de Van Cleef & Arpels par le groupe Richemont, la Maison connaît une période de grande créativité, s’exprimant notamment à travers ses collections de Haute Joaillerie, telles que L’Atlantide en 2007, Les Voyages Extraordinaires en 2010, Bals de Légende en 2011 et enfin Palais de la Chance en 2012. L’un des joyaux de cette collection, le collier Phénix Mystérieux, clôture l’exposition dont la scénographie onirique a été conçue par l’agence Jouin Manku.

 

Découvrez le site dédié de l’exposition :

www.artdelahautejoaillerie-vancleefarpels.com

 

Pratique

Les Arts Décoratifs - Nef
107 rue de Rivoli
75001 Paris

Tél. : 01 44 55 57 50
Métro : Palais-Royal, Pyramides ou Tuileries
Autobus : 21, 27, 39, 48, 68, 69, 72, 81, 95

- Plan d’accès
- Horaires et tarifs

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